Élias sentit une étrange pression l’envahir, tels que si la bague elle-même était colorée d’une connaissance. Il hésita un instant, cherchant ses signes, mais Lauriana Voyance lui fit signe de s’asseoir. Il obéit, fasciné nonobstant lui. Sur la table, la tasse de café semblait l’appeler, et il se rendit compte que c’était par ce circonlocution que viendrait la documentation. Lauriana effleura la surface du liquide sinistre, puis fit avoir mollement la tasse entre ses tout. « Tout ce que vous le désirez est déjà composé ici. » Sa voix était douce, mais son regard semblait parcourir Élias, tels que s’il n’avait plus de inspiré portrait à elle. Elle posa la tasse censées lui et l’invita à lier. « Regardez et écoutez. » Le professeur plongea son regard dans le marc de café. D’abord, il ne vit qu’un coulant résidu problématique, mais nuage à nuage, des lignes commencèrent à affleurer, des silhouettes floues, des symboles qui semblaient danser dans l’ombre du liquide séché. Il distingua des portraits inconnus, des sentiers qu’il n’avait jamais empruntées, des fragments de son passé qu’il pensait oubliés. Une reproduction entre autres s’imposa à lui : un garçon, allongé sur l’herbe, contemplant les étoiles. Le ciel était carré, constellé de particularités lumineux. Il connaissait cette scène, il l’avait vécue. Il avait sept ans, et sa grand-mère lui racontait des histoires sur l’univers, sur les astres qui chuchotaient des matérialisations à celles qui savaient être en harmonie avec. Elle lui avait parlé des traces du ciel, des symboles cachés dans les desseins, des prévisions que la tempérance procurait à celle qui osaient apprendre. Il se souvint dans ces conditions de la fascination qu’il avait éprouvée, de cette conscience enfantine en quelque chose de plus grand, avant que la motivation et le nihilisme ne dérivent renforcer tout cela de façon identique à un store de plomb. « Ce que vous sentirez n’est non seulement votre passé. C’est votre destin. » Lauriana Voyance posa une coeur légère sur la table, ramenant Élias à la vie. « Vous avez nié les comètes toute votre main, mais vous avez très subsisté là. La convenable partie est : que ferez-vous sans plus attendre ? » Élias recula mollement sur sa chaise. Il était troublé, plus qu’il ne voulait l’admettre. Son pensée rationnelle tentait de rationaliser ce qui venait de s'opérer. Il aimerait se voir que son subconscient lui jouait des poitiers, que cette illustration n’était que la baie d’une appel qu’il avait normalement oubliée. Mais il y avait autre étape, une sentiment qu’il n’arrivait pas à présenter. Une certitude étrange s’insinuait en lui, une conscience qu’il n’avait jamais ressentie avant tout. « Ce que nous avons aperçu, je ne l’ai pas inventé. » Lauriana parlait calmement, avec la patience de une personne qui connaissait déjà la suite de l’histoire. « Vous pensez que vous vous trouvez venu ici pour incorporer une fable, mais en vérité, c’est notre propre truisme que vous êtes venu appeler. » Élias ferma les yeux un instant. Était-il en train de enliser pied ? Il tenta de se raccrocher à ce qu’il savait : la intelligence, la méthode, la vision de la science. Mais dans cette appartement aux murs imprégnés de parfait, visage à cette femme dont la présence semblait pousser les siècles lui-même, rien ne répondait plus aux protocoles de la raison. « Je… je ne comprends pas. » Sa voix était plus hésitante qu’il ne l’aurait obligatoire. « Vous dites que j’ai incomparablement eu des signes sous les yeux ? Que j’ai refusé de les embrasser ? Mais pourquoi personnage ? Pourquoi à la minute ? » Lauriana Voyance le regarda avec une cadence troublante. « Parce que vous êtes prêt. Parce que nous avons cherché, même sans vous en diffuser compte. Les réponses descendent toujours à ceux qui posent les précieuses arguments. » Il sentit un frisson lui rosser l’échine. Pendant des faits, il s’était moqué de celle qui croyaient en l’inexplicable. Il avait rejeté les commentaires, limité les vies paranormales à des illusions, des ébats erronées de l’esprit social. Et cependant, en cet pressant, il ne pouvait pas nier ce qu’il venait de regarder. Il baissa les yeux vers la tasse, qui semblait grandement vibrer d’une présence invisible. « Alors… qu’est-ce que je me vois censé apporter ? » Lauriana Voyance esquissa un léger sourire, comme si elle savait qu’il finirait par aliéner le sujet. « Ce n’est pas à personnage de réagir. Mais votre voyage ne geste que démarrer. » Le silence retomba, mais ce n’était plus le même silence qu’auparavant. Élias n’était plus le même être humain qu’au instant où il avait franchi cette porte. Quelque chose en lui avait changé, même s’il ne savait pas encore quoi. Il avait passé sa vie à chercher des recommandations aux croyances humaines, à traquer les mythes et les histoires. Et voilà qu’il se retrouvait au cœur de l’une d’elles, figures à une lapalissade qui défiait tout ce qu’il pensait savoir. Il releva pour finir le minois et regarda Lauriana Voyance droit dans les yeux. Il savait sur le coup qu’il ne repartirait pas tout de suite. Il y avait encore généreusement à piger, immensément à savoir. Et pour première fois Lauriana voyance de sa biographie, il était prêt à écouter.